Le ciel est bleu la neige est blanche
… Et le randonneur à ski un peu gris par moments 😅
Salut les Amis
et oui les coiffeurs il n'y a pas que sur 2 roues que l'on peut souffrir….
mais quand on arrive en haut du col on est heureux...
car il faut alors redescendre en se laissant glisser...
pour les connaisseurs du coin : col du Tacul au pied de l'aiguille du Tacul.
posted by Maverick Pierrot @ février 23, 2019
13 Comments:
Cher Pierre, tu n'auras de si belles vues si tu viens avec nous demain. Mais on peut te garantir que tu souffriras moins 😁
Tu as raison Pierrot il n’y a rien de plus authentique que la montagne !
Bon mais aujourd’hui tu as quand même raté une très belle sortie..
Plus que ça, même.
Eh les copains vous me garder les chemins au sec pour dimanche prochain et je serai des votres
Pas sûr que ce ça reste sec. Mais je vais allumer un cierge, au cas où.
Magnifique sortie en effet. Départ à 8h30 (c’est quand même bien mieux que 9h, hein?) avec Alain, Gilles, Yann et moi-même. Objectif: le classique tour des 5 châteaux. Bon on en aura vu que deux, mais cela valait quand même le coup. Après une traversée directe de la forêt du Manet et deux séchoirs, on passe devant le château de Meridon. Saviez-vous qu’il a été construit en 1880, et a été racheté par un hollandais, qui l’a très bien entretenu, puis par une française, qui a fait appel aux services de Yann pour son entretien (au château, pas à la francaise...). Après quelque temps, Alain décide de prendre un diverticule pour prendre le single d’Eric en dévers (le single, pas Eric). Le plus beau single de la région d’apres Alain. Puis on revient vers le superbe château de Breteuil, et la j’apprends stupéfait que Gilles préfère le chatounet de Meridon. Bref, on continue vers la descente auparavant technique mais maintenant aménagée en marches, puis tout droit en bordure de forêt vers la descente technique nous amenant aux Vaux. Mais avant il y a une cuvette dans laquelle nous sommes restés 15 mn après 4 essais de Yann (le dernier réussi, bravo), 3 d’Alain (tous ratés, car il entendait un vieux couac, alors que Bruno n’etait Pas la, donc ce n’etait pas possible), et deux de Gilles (ratés aussi, enfin pas vraiment tentés). A partir de la, nous sommes rentrés, en passant par le séchoir de Champomy (Champ Rémy), que votre serviteur a été le seul à passer (enfin la partie haute). Retour au Manet par l’OMS.
On a croisé Miros, en électrique et pleine forme. Le grip était top, avec un soleil superbe. Presque 50km et plus de 700m de dénivelé. Un bon rythme à 11km/h de moyenne. Une vraie sortie de printemps.
Très belle sortie surtout pour moi qui n’ai rien fait depuis plusieurs mois.
La diversion (diverticule le mot est inapproprié) proposée parAlain valait vraiment le coup car jolie descente dans de la tourbe.
Du séchoir de Champomy 1ère partie j’ai souvenir de Vincent peinant à décoller (- de 5cm de tour de pedale), puis atomique.
Merci à Alain pour le guidage et bonne semaine à tous, le printemps est déjà là !
Je me dois d'apporter quelques précisions/corrections au CR de Vince.
Nous avons d'abord eu droit à un Vince remonté comme un coucou, qui voulait du séchoir, du séchoir et encore du séchoir. Au grand dam de Gilles, pas réveillé, pas désalcoolisé et pas réchauffé dans sa polaire en nylon de Chine.
Deux gros séchoirs pour aller jusqu'au plateau de la Madeleine, avant de jardiner dans le single d'Annie bien dissimulé sous les feuilles mortes. Puis encore un énorme séchoir pour remonter sur le plateau de Coubertin. Seul Gilles est passé je crois. Des Coiffeurs avec la bave aux lèvres, quoi.
Mais ça n'aura pas duré très longtemps, cette soif de séchoir. Arrivé au fameux "diverticule", en haut de Choisel, j'ai mis les Coiffeurs face à un choix: continuer le parcours classique en évitant le fameux single en dévers, ou bien le descendre et remonter ensuite par un séchoir. Là, Vince avait changé de costume: "non, non, pas de séchoir, ça va nous rallonger. On va perdre une heure avec ton truc". Gilles n'était pas motivé non plus: "encore un pauvre single sans intérêt, et puis il va falloir remonter, ça ne sert à rien".
Heureusement, Yann était là et grace à lui, on a convaincu les deux zozos. Mais on n'est pas remontés par le séchoir comme prévu. Les 2 lascars ont râlé, pleuré, menacé, et on a fini sur un faux plat.
Puis arrive le fameux épisode de la cuvette, dans le versant sud avant d'arriver aux Vaux. Souvenez-vous, c'est la cuvette dans laquelle Gilles avait crévé et dévoilé sa magnifique chambre à air à crampons! Bon, là, on a tous été minables. Sauf Yann qui a su persévérer. Gilles et moi avons été un peu mou du genou. Quant à Vince, il n'a même pas daigné essayer. Pfff. Et après il ose se moquer. C'est moche.
Puis arrive le séchoir de Champomy. Vince a d'abord été très mauvais et a tanké tout le monde dans la chicane. Mais après, il a été monstrueux, inhumain. Il a arraché le séchoir jusqu'en haut! Châpeau bas. C'est une très belle prouesse.
On avait deviné le Vince en grande forme dimanche dernier déjà. Mais là, là, il n'y a plus de mots...
Note que nous avons bien fait d’insister avec Gilles pour ne pas prendre le faux plat que tu nous a vendu comme un séchoir. On est quand même arrivés à presque 13h00 aux voitures. Heureusement qu’on était lucides. Avec tous les ralongis que tu voulais nous faire prendre, on aurait passé le dimanche après-midi sur le vélo.
Lucides? Des feignasses, oui!
Et je vous aurais vendu un faux plat comme séchoir? Mais quel culot!
Des "fake news", tout ça, oui.
Je suis sûr qu'à la prochaine sortie, Vince va arborer des cheveux orange!
Vince tu deviens fou ou quoi
Tu as du pousser trop dans le dernier séchoir
Va chez le docteur en vitesse il y quelque chose qui tourne pas rond
Al de vendre un séchoir comme faux plat une aberration monsieur
Ah, enfin une voix sensée.
Attend moi Pierre , j'arrive !!!
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