1er Novembre, direction Vélizy

Je suis déçue, Alain ne s'est pas précipité pour narrer notre sortie.
Evidemment il a été déçu de ne pas atteindre la terre promise. Mais ce n'est que partie remise, la conclusion étant que partir du Manet n'était pas une bonne idée car pris par le temps nous avons dû faire demi-tour alors que arrivions à Vélizy.


Donc départ classique du Manet direction Le plan de Troux puis La Garenne pour échouer nous aussi au dessus de l'étang du Val dans la zone victime de débardage puis nous sommes arrivés au Chêne de Louis XIV. Ca y est, je l'ai placé mon chêne, mais non mais non je ne fais pas une fixation, et quand on oublie de prendre une photo on en pique une sur le web.

( Petite page d'histoire : "Le chêne de Louis XIV est situé en bas du chemin de la Butte aux Vaches et offrait de l’ombre au roi Louis XIV lorsqu’il venait surveiller la construction de la machine de Buc. Elle conduisit l’eau du plateau de Saclay aux réservoirs du château de Versailles, de 1671 à 1685. Cependant, son débit étant insuffisant, elle fut détruite et disparu de la mémoire bucoise" )




Revenons à nos moutons, ou plutot nos chevaux par la traversée du haras de Vauptin suivie d'une montée dans le bois des Gonards et nous nous dirigeons vers le single qui arrivait à un autre chêne de Louis XIV disparu récemment celui-ci.




Crevaison de Christophe qui bougonne dans le bois des Metz parce que nous ne faisons pas tous les singles mais on ne peut pas tout faire.
Carole sort une côte impressionnante encouragée par Christophe et Alain tandis que Jean-Luc, Jojo et moi-même faisons notre TAP.
Pierre nous quitte au pont Colbert car il se fait tard et nous aussi nous faisons demi-tour une demi-heure après alors que nous arrivions dans la zone où je pouvais faire découvrir des nouveautés.

En définitive c'est moi qui ai découvert plusieurs singles très intéressants dans le bois au dessus de Versailles entre le pont Colbert et l'épi d'or.

Au final 50km et à peu près 700m de dénivelé.
Pour moi c'était parfait puisque le fonds acquis par des trajets d'une heure par la route pour aller au travail ne me permettent pas de soutenir un rythme élevé sur une matinée.